3 raisons de souscrire une assurance prévoyance TNS
1. Pour la loi Madelin, bien sûr !
Les salariés ont une longueur d’avance sur les indépendants en matière de protection sociale, notamment en matière de prévoyance. La Loi Madelin vise à réduire cette inégalité, du moins au point de vue de la fiscalité. Ainsi, les travailleurs non-salariés peuvent déduire de leur revenu professionnel imposable leurs cotisations issues d’un contrat de prévoyance Madelin dans la limite de leur plafond fiscal. Ce plafond de « déduction maximale » est déterminé en fonction du Plafond annuel de la Sécurité sociale (PASS) et/ou de leur revenu. Seul impératif pour accéder à la déductibilité : le TNS doit être à jour de ses cotisations obligatoires d’assurance maladie et vieillesse
2. En cas de coup dur, quid de vos revenus ?
Vous êtes victime d’un accident de la circulation ou d’une maladie qui vous empêche de travailler pendant des mois. Avez-vous réfléchi aux conséquences de ce type de situation ? Elles sont potentiellement désastreuses, surtout si vous êtes la seule personne à exercer une activité professionnelle dans le foyer et/ou que vous avez des enfants. Cela veut tout simplement dire que vous ne toucherez aucuns revenus pendant votre période d’indisponibilité. La Sécurité sociale ? Elle vous versera quelques euros seulement…
Qui prendra en charge les pertes d’exploitation liées à l’arrêt ? Qui paiera les charges qui continueront de « courir » pendant votre indisponibilité ? Seul un contrat prévoyance peut vous garantir cette sérénité. Il prend en charge la perte de revenu à travers des indemnités journalières, mais aussi tout ou partie de vos charges (URSSAF, Sécurité sociale…).
Vous pouvez également souscrire une rente conjoint et/ou une rente éducation.
À tous ceux qui pensent que le contrat de prévoyance est une perte d’argent, sachez qu’il coûte en moyenne moins cher qu’un contrat santé. En effet, au premier sinistre, vous amortissez des mois, voire des années de cotisation. Pour une longue maladie, vous profitez tout simplement d’une bouée de sauvetage pour toute votre famille ! Sans compter que l’équilibre financier affiché par votre activité est un gage de fiabilité pour vos clients, vos fournisseurs ou vos partenaires en affaires.
Tout travailleur indépendant doit penser à 3 couvertures essentielles : la complémentaire santé, la prévoyance et la retraite. Cela tombe bien : ces 3 assurances sont éligibles à la Loi Madelin !
3. Assurance décès-invalidité incluse
En tant que travailleur indépendant, si vous décédez ou que vous êtes invalides à vie, vous n’aurez (la plupart du temps) rien à léguer à votre conjoint ou à vos enfants. Raison de plus pour opter pour un contrat de prévoyance : toutes les formules incluent un volet décès-invalidité, déterminant pour assurer l’équilibre financier de ceux que vous aimez.
Vous avez la liberté de choisir vous-même le plafond d’indemnisation… et d’ailleurs, cette notion de liberté est l’un des principaux atouts du contrat de prévoyance TNS. En effet, le salarié ne choisit pas sa prévoyance : il s’acquitte de sa cotisation en fonction du niveau de couverture déterminé par son employeur et fiscalement, il ne peut déduire ses cotisations.
Pour vous, c’est totalement différent ! En effet, vous avez le choix des garanties ET de leur montant : indemnités journalières, perte d’exploitation, charges, rente invalidité, rente conjoint, rente éducation, capital décès-invalidité… Vous pouvez même choisir d’assurer des parties de votre corps indispensable à la poursuite de votre activité : les mains, les yeux, le dos… Oui, comme dans votre activité, le seul patron de votre prévoyance, c’est vous !